Souvrir au monde.
Publié le 04 août 2025
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Si nous n’écoutons pas toujours les bruits du monde
Si nous ne nous ouvrons à d’autres êtres vivants
Nous restons prisonniers en dedans de nous mêmes
Bien plus que n’est l’épi dans un grand champ de blé.
Ce n’est qu’en connectant notre être à tout
Par nos sens, nos pensées, nos émotions, nos mots
Que nous pouvons sentir que tout est relié
Que nous sommes partie au sein d’un grand ensemble.
Celui qui se sent seul, prisonnier de lui-même
Ne ressent plus alors autour qu’hostilité
Le monde est danger et l’autre est menace
Il ne ressent l’apaisement que donne un vrai contact.
Quand peur et méfiance habitent chez quelqu’un
Elles ferment les portes qui existent en chacun.
Elles font la forteresse où l’on se réfugie
On ne sent la caresse sur la peau de la pluie.
Lors que le cri d’un seul se perd dans le silence
La clameur de beaucoup ne peut être étouffée
La chanson que l’on chante ou le pas que l’on danse
Pourra si l’on est seul n’être qu’une bouffée.
Si nous ne nous ouvrons à d’autres êtres vivants
Nous restons prisonniers en dedans de nous mêmes
Bien plus que n’est l’épi dans un grand champ de blé.
Ce n’est qu’en connectant notre être à tout
Par nos sens, nos pensées, nos émotions, nos mots
Que nous pouvons sentir que tout est relié
Que nous sommes partie au sein d’un grand ensemble.
Celui qui se sent seul, prisonnier de lui-même
Ne ressent plus alors autour qu’hostilité
Le monde est danger et l’autre est menace
Il ne ressent l’apaisement que donne un vrai contact.
Quand peur et méfiance habitent chez quelqu’un
Elles ferment les portes qui existent en chacun.
Elles font la forteresse où l’on se réfugie
On ne sent la caresse sur la peau de la pluie.
Lors que le cri d’un seul se perd dans le silence
La clameur de beaucoup ne peut être étouffée
La chanson que l’on chante ou le pas que l’on danse
Pourra si l’on est seul n’être qu’une bouffée.

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