Sur des valses de Vienne.
Publié le 04 août 2025
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Tout chante au printemps quand revit la nature.
Quand la belle endormie repart à l’aventure,
L’oiseau enfin pépie au sein de la ramure,
Du ruisseau on entend, à nouveau, les murmures.
Tout renaît au printemps dans un nouvel élan
Redevient plus rapide tout ce qui était lent.
Le sang bat dans les veines et son flot est puissant.
Le bourgeon a la fièvre, celle qu’ont les amants.
Tout fleurit au printemps en mille et un éclats
La vigueur a saisi ceux qui se sentaient las
On attend impatient le beau temps des lilas
Le vert est la couleur qui lui donne le la.
Tout paraît possible quand le printemps revient :
Qu’elle nous fasse un signe pour nous dire enfin : vient !
La confiance en la vie alors, sûr, elle advient
On frémit aux accents qu’ont les valses de Vienne.
Quand la belle endormie repart à l’aventure,
L’oiseau enfin pépie au sein de la ramure,
Du ruisseau on entend, à nouveau, les murmures.
Tout renaît au printemps dans un nouvel élan
Redevient plus rapide tout ce qui était lent.
Le sang bat dans les veines et son flot est puissant.
Le bourgeon a la fièvre, celle qu’ont les amants.
Tout fleurit au printemps en mille et un éclats
La vigueur a saisi ceux qui se sentaient las
On attend impatient le beau temps des lilas
Le vert est la couleur qui lui donne le la.
Tout paraît possible quand le printemps revient :
Qu’elle nous fasse un signe pour nous dire enfin : vient !
La confiance en la vie alors, sûr, elle advient
On frémit aux accents qu’ont les valses de Vienne.

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