Sur le divan.
Publié le 04 août 2025
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Écrire sur le temps, oh quel bon passe temps
Chaque poète un jour s’y est laissé tenter
Car par ce thème là, chacun n’est-il hanté
Pensant que d’en parler ça soulage d’autant ?
Pour évoquer le temps on use tant d’images
Horloge et cadran, aiguille et seconde
On parle aussi de fleuve, de cycle ou de ronde
Le temps insaisissable résiste à ce langage.
Le monde et la vie ne sont rien sans le temps
Car tout est changement et que rien n’est figé
Même la roche s’use au fil d’éternité
Tout est fuite en avant, rien ne résiste au temps.
Apparent paradoxe, il y un temps pour tout
Même si c’est le même à la nuance près
Travailler ou dormir, se rouler dans le pré
Il nous reste le choix, mais c’est à peu près tout.
Voilà j’ai pris le temps d’écrire sur le temps
Ça ne m’a pris longtemps, juste un peu de mon temps
Le poète est ainsi qui depuis son divan
Garde la liberté qu’ont les mots dans le vent.
Chaque poète un jour s’y est laissé tenter
Car par ce thème là, chacun n’est-il hanté
Pensant que d’en parler ça soulage d’autant ?
Pour évoquer le temps on use tant d’images
Horloge et cadran, aiguille et seconde
On parle aussi de fleuve, de cycle ou de ronde
Le temps insaisissable résiste à ce langage.
Le monde et la vie ne sont rien sans le temps
Car tout est changement et que rien n’est figé
Même la roche s’use au fil d’éternité
Tout est fuite en avant, rien ne résiste au temps.
Apparent paradoxe, il y un temps pour tout
Même si c’est le même à la nuance près
Travailler ou dormir, se rouler dans le pré
Il nous reste le choix, mais c’est à peu près tout.
Voilà j’ai pris le temps d’écrire sur le temps
Ça ne m’a pris longtemps, juste un peu de mon temps
Le poète est ainsi qui depuis son divan
Garde la liberté qu’ont les mots dans le vent.

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