Surpris et Effaré.
Publié le 04 août 2025
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A tout instant ce monde m’est tout étonnement.
Tout y reste surprise si on le voit vraiment.
Pour certain est de mise d’y être indifférent
Pour moi il est un rêve, jailli d’un firmament,
Un rêve de beauté, quand je vois la nature
Ses mille créations et leurs lignes si pures,
Folles combinaisons de systèmes complexes
Étranges variations dans un infini texte.
Ou un vrai cauchemar, quand naissent ses colères
Quand les grands prédateurs, sortent griffes et dents,
Que les eaux se soulèvent, pour emporter les gens,
Que la terre se mue en véritable enfer.
Je préfère à tout prendre tous ces fous soubresauts.
La vie reprend son cours quand cessent ces assauts.
Destruction, création dont se nourrit la vie,
Pour renaître plus forte, quand le soleil sourit.
A tout instant les hommes arrivent à me surprendre.
Si j’aime quand ils savent, à la raison se rendre,
Lorsqu’ils emploient leurs forces aussi à s’entraider,
Lorsqu’ils créent de leurs mains des œuvres de beauté.
Je les hais en revanche, s’ils cèdent à leurs rages
De pouvoir et d’argent, de violences et de haine.
Lorsqu’ils montrent ce qu’est alors leur laid visage,
Quand le masque est tombé, qu’ils ont brisé leurs chaînes.
Pourquoi faut-il que tant se transforment en fauves ?
Pour aimer il ne faut pourtant coeur de guimauve,
Mais une âme trempée et un cœur très vaillant,
Pour ne pas aux instincts, leur céder trop souvent.
Qu’importent les excès, s’il y a les équilibres.
Mais l’homme s’est affranchi dans sa rage de vivre,
Et il a confondu son droit de rester libre,
Avec ce qui au fond de lui si fort vibre.
Il a perdu un jour le nord de sa boussole
Son aiguille depuis se trompe et s’affole.
Il ne sait plus très bien où sont ses limites
Il a perdu de vue, à quoi la vie l’invite.
Tout y reste surprise si on le voit vraiment.
Pour certain est de mise d’y être indifférent
Pour moi il est un rêve, jailli d’un firmament,
Un rêve de beauté, quand je vois la nature
Ses mille créations et leurs lignes si pures,
Folles combinaisons de systèmes complexes
Étranges variations dans un infini texte.
Ou un vrai cauchemar, quand naissent ses colères
Quand les grands prédateurs, sortent griffes et dents,
Que les eaux se soulèvent, pour emporter les gens,
Que la terre se mue en véritable enfer.
Je préfère à tout prendre tous ces fous soubresauts.
La vie reprend son cours quand cessent ces assauts.
Destruction, création dont se nourrit la vie,
Pour renaître plus forte, quand le soleil sourit.
A tout instant les hommes arrivent à me surprendre.
Si j’aime quand ils savent, à la raison se rendre,
Lorsqu’ils emploient leurs forces aussi à s’entraider,
Lorsqu’ils créent de leurs mains des œuvres de beauté.
Je les hais en revanche, s’ils cèdent à leurs rages
De pouvoir et d’argent, de violences et de haine.
Lorsqu’ils montrent ce qu’est alors leur laid visage,
Quand le masque est tombé, qu’ils ont brisé leurs chaînes.
Pourquoi faut-il que tant se transforment en fauves ?
Pour aimer il ne faut pourtant coeur de guimauve,
Mais une âme trempée et un cœur très vaillant,
Pour ne pas aux instincts, leur céder trop souvent.
Qu’importent les excès, s’il y a les équilibres.
Mais l’homme s’est affranchi dans sa rage de vivre,
Et il a confondu son droit de rester libre,
Avec ce qui au fond de lui si fort vibre.
Il a perdu un jour le nord de sa boussole
Son aiguille depuis se trompe et s’affole.
Il ne sait plus très bien où sont ses limites
Il a perdu de vue, à quoi la vie l’invite.

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