Tant de désirs.
Publié le 04 août 2025
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Tu ne sais plus bien sûr où donner de la tête
Tant de choses te tentent, dont tu veux la conquête.
Tu as tant de désirs, que tu cours après eux
Sans pouvoir les saisir, pour qu’ils te rendent heureux.
Même lorsque tu tiens, dans tes mains, l’un d’entre eux,
Tu ressens frustration de n’en avoir pas deux.
Sans cesse tu te bats, pour en avoir bien plus
Jamais tu n’abandonnes, tu veux d’autres bonus.
Les anciens te diraient, que tu as de grands yeux
Bien plus grands que ton ventre, que t’es trop ambitieux.
Plus rien ne te contente, de ce que tu as déjà
Tu vois dans la vitrine, les choses que tu n’as pas.
Une fuite en avant qui ne connaît de fin
Rien n’est plus susceptible d’apaiser cette faim.
Tu deviens le jouet, de toutes ces envies
Comprends-tu posséder, ce n’est pas ça la vie !
Apprend à mieux connaître, même le peu que tu as.
Goûte ce qu’il t’apporte, trouves y de la joie.
Cette eau qui désaltère dès lors que tu la bois,
Ce pain qui rassasie, quand tu l’avales en toi.
Ce toit dessus ta tête, qui abrite et protège
Ce lit où tu reposes, où ta tête s’allège.
Ces jeux auxquels tu joues, avec quelques amis,
Et puis ces promenades, que tu fais à la nuit.
La chance que tu as de partager ta vie,
Avec une compagne, que bien d’autres t’envient.
Ces enfants qui t’entourent, de leurs rires et leurs cris
Cette famille unie, tout ce temps dont tu jouis.
Reviens à l’essentiel, oublie le superflu
Ne tombe dans ce piège, que d’avoir toujours plus.
De cet artificiel, tu n’as réel besoin,
Vois tout ce que tu as, du reste tiens toi loin !
Tant de choses te tentent, dont tu veux la conquête.
Tu as tant de désirs, que tu cours après eux
Sans pouvoir les saisir, pour qu’ils te rendent heureux.
Même lorsque tu tiens, dans tes mains, l’un d’entre eux,
Tu ressens frustration de n’en avoir pas deux.
Sans cesse tu te bats, pour en avoir bien plus
Jamais tu n’abandonnes, tu veux d’autres bonus.
Les anciens te diraient, que tu as de grands yeux
Bien plus grands que ton ventre, que t’es trop ambitieux.
Plus rien ne te contente, de ce que tu as déjà
Tu vois dans la vitrine, les choses que tu n’as pas.
Une fuite en avant qui ne connaît de fin
Rien n’est plus susceptible d’apaiser cette faim.
Tu deviens le jouet, de toutes ces envies
Comprends-tu posséder, ce n’est pas ça la vie !
Apprend à mieux connaître, même le peu que tu as.
Goûte ce qu’il t’apporte, trouves y de la joie.
Cette eau qui désaltère dès lors que tu la bois,
Ce pain qui rassasie, quand tu l’avales en toi.
Ce toit dessus ta tête, qui abrite et protège
Ce lit où tu reposes, où ta tête s’allège.
Ces jeux auxquels tu joues, avec quelques amis,
Et puis ces promenades, que tu fais à la nuit.
La chance que tu as de partager ta vie,
Avec une compagne, que bien d’autres t’envient.
Ces enfants qui t’entourent, de leurs rires et leurs cris
Cette famille unie, tout ce temps dont tu jouis.
Reviens à l’essentiel, oublie le superflu
Ne tombe dans ce piège, que d’avoir toujours plus.
De cet artificiel, tu n’as réel besoin,
Vois tout ce que tu as, du reste tiens toi loin !

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