Tête-à-tête
Publié le 04 août 2025
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Aujourd’hui on se promène, comme autrefois sur les sentiers
Sans savoir où cela nous mène, on vagabonde, intrigué
Sur des chemins qui n’ont ce nom que pour peut être rassurer
Et pour nous prendre par la main, pour ce qu’ils veulent nous montrer.
Tous ces chemins tissent une toile, aux contours bien alambiqués
Ce sont des liens quoiqu’invisibles, qui disent tous nous relier
Toi dans ta yourte, ton gratte ciel, toi dans ta hutte ou ton duplex
Tu lances messages ou recherches, tout cela n’est pas si complexe.
Ce qui n’était que promenade, devient vite l’occupation
La plus fréquente de ton histoire, quand tu te jettes sur ton écran
Tu oublies tout ce qui t’entoure, hier qui était si important
Désormais ton esprit ne s’ouvre, que pour nourrir cette passion.
Quand à l’extrême tu te replies, et tu t’isoles dans ton logis
Que tu ne bouges que pour nourrir, cette carcasse qui s’alourdit
Que le frigo est devenu, avec le livreur de pizza
Les seuls amis que tu conserves, où donc cela te mènera ?
Tous ces réseaux qu’on dit sociaux, ne vois-tu pas ce sont des pièges
Pour rencontrer vraiment des gens, faut pas demeurer sur son siège
On a besoin de ses cinq sens, et pas seulement de sa tête
Pour connaître vraiment les gens, il faut aussi des tête-à-tête.
Sans savoir où cela nous mène, on vagabonde, intrigué
Sur des chemins qui n’ont ce nom que pour peut être rassurer
Et pour nous prendre par la main, pour ce qu’ils veulent nous montrer.
Tous ces chemins tissent une toile, aux contours bien alambiqués
Ce sont des liens quoiqu’invisibles, qui disent tous nous relier
Toi dans ta yourte, ton gratte ciel, toi dans ta hutte ou ton duplex
Tu lances messages ou recherches, tout cela n’est pas si complexe.
Ce qui n’était que promenade, devient vite l’occupation
La plus fréquente de ton histoire, quand tu te jettes sur ton écran
Tu oublies tout ce qui t’entoure, hier qui était si important
Désormais ton esprit ne s’ouvre, que pour nourrir cette passion.
Quand à l’extrême tu te replies, et tu t’isoles dans ton logis
Que tu ne bouges que pour nourrir, cette carcasse qui s’alourdit
Que le frigo est devenu, avec le livreur de pizza
Les seuls amis que tu conserves, où donc cela te mènera ?
Tous ces réseaux qu’on dit sociaux, ne vois-tu pas ce sont des pièges
Pour rencontrer vraiment des gens, faut pas demeurer sur son siège
On a besoin de ses cinq sens, et pas seulement de sa tête
Pour connaître vraiment les gens, il faut aussi des tête-à-tête.

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