Toujours plus profond.
Publié le 04 août 2025
moins d'une minute de lecture
5 lecture
(0)
Et pendant qu’en Russie un nouveau fou de guerre
Sort canons et fusils pour montrer son pouvoir
Il étouffe à nouveau tous les cris de la terre
Ce qui va sans nul doute mettre fin à l’histoire.
S’il fallait s’adonner de nos jours à la guerre
C’est d’abord contre nous, nos actes destructeurs
S’il fallait nous armer ce n’est pas par erreur
Mais pour mener combat pour survivre sur terre.
Combien de diversions pour d’anciennes querelles
Retardent le moment où l’on devra agir ?
Ensemble redoublons nos efforts de plus belle
Pour éviter la fin dans un proche avenir !
Les hommes jouent un jeu qui hélas les dépassent
Qui sera le plus fort ? Demeure leur passe-temps.
Peu importe pour eux ce qui meurt et trépasse
Même si c’est l’espoir qu’ils tuent pendant ce temps.
Le passé sur eux pèse qu’ils ne savent oublier
Feront-ils même erreur d’aller tout embraser ?
Les peuples eux demeurent dans leurs petits souliers
Craignant comme jadis de se voir écrasés.
Indifférent à tout, à cette agitation
Partout la forêt brûle et la glace qui fond
La planète subit toujours nos prédations
L’homme dans son malheur s’enfonce plus profond.
Sort canons et fusils pour montrer son pouvoir
Il étouffe à nouveau tous les cris de la terre
Ce qui va sans nul doute mettre fin à l’histoire.
S’il fallait s’adonner de nos jours à la guerre
C’est d’abord contre nous, nos actes destructeurs
S’il fallait nous armer ce n’est pas par erreur
Mais pour mener combat pour survivre sur terre.
Combien de diversions pour d’anciennes querelles
Retardent le moment où l’on devra agir ?
Ensemble redoublons nos efforts de plus belle
Pour éviter la fin dans un proche avenir !
Les hommes jouent un jeu qui hélas les dépassent
Qui sera le plus fort ? Demeure leur passe-temps.
Peu importe pour eux ce qui meurt et trépasse
Même si c’est l’espoir qu’ils tuent pendant ce temps.
Le passé sur eux pèse qu’ils ne savent oublier
Feront-ils même erreur d’aller tout embraser ?
Les peuples eux demeurent dans leurs petits souliers
Craignant comme jadis de se voir écrasés.
Indifférent à tout, à cette agitation
Partout la forêt brûle et la glace qui fond
La planète subit toujours nos prédations
L’homme dans son malheur s’enfonce plus profond.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.