Tout au creux de toi.
Publié le 04 août 2025
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Aux confins de l’espace que m’ont ouvert tes bras
Lueur pâle opaline que dessine les draps
Je ne m’y aventure car bien trop loin de toi
Je ne suis bien toujours que tout au creux de toi.
Aux lisières du temps où porte ton regard
Cette fin du parcours qui survient tôt ou tard
Je n’y vais jamais voir car mon seul cauchemar
C’est n’avoir plus tes yeux comme mon seul miroir.
Aux frontières des mots qui sortent de tes lèvres
De tes murmures doux qui ne sont jamais mièvres
Je n’en veux ouïr la fin, ni entendre la trêve
Tant ils sont l’aliment qui nourrissent mes rêves.
Aux limites du souffle qui porte notre amour
Là où pourrait mourir cette flamme qui court
Je ne veux point m’y rendre, je ne suis en rien pour
Car je te veux pour moi jusqu’à la fin des jours.
Lueur pâle opaline que dessine les draps
Je ne m’y aventure car bien trop loin de toi
Je ne suis bien toujours que tout au creux de toi.
Aux lisières du temps où porte ton regard
Cette fin du parcours qui survient tôt ou tard
Je n’y vais jamais voir car mon seul cauchemar
C’est n’avoir plus tes yeux comme mon seul miroir.
Aux frontières des mots qui sortent de tes lèvres
De tes murmures doux qui ne sont jamais mièvres
Je n’en veux ouïr la fin, ni entendre la trêve
Tant ils sont l’aliment qui nourrissent mes rêves.
Aux limites du souffle qui porte notre amour
Là où pourrait mourir cette flamme qui court
Je ne veux point m’y rendre, je ne suis en rien pour
Car je te veux pour moi jusqu’à la fin des jours.

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