Tout pouvoir.
Publié le 04 août 2025
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Il est comme la terre, quand dans un sol fertile
Il vient semer des graines pour donner blé ou mil
Quand il tient les promesses qu’il nous a faites un jour
De donner de lui même le meilleur du labour.
Il est tout comme l’eau qui répand ses bienfaits
Qui emporte avec lui tout un flot de caresses
Quand tout comme l’ondée il humecte les cœurs
Et qu’il met à la voile sur le bateau bonheur.
Il est bien comme l’air qui voyage sans cesse
Comme ces vents propices aux marins de l’ailleurs
Quand il souffle en zéphyr pour chasser ce qui blesse
Quand tel un tourbillon il balaie les erreurs.
Il est comme un feu qui brûle en dedans
Qui donne l’énergie qui pousse aux élans
Quand il vient consumer nos questions et nos doutes
Éclairer de ses torches nos chemins et nos routes.
Ainsi quatre éléments alliés qui se conjuguent
Quand il sait en user avec discernement
Mais devant la passion souvent sa raison fugue
Et voit se déchaîner ses atouts follement.
Alors le feu consume ce à quoi il tenait
Alors l’eau le submerge pour aussi tout noyer
Alors souffle en tempête l’air en vent déchaîné
Alors enfouis en terre tous ses espoirs brisés.
L’homme a tout pouvoir sur tout ce qui l’entoure
Mais s’il peut le meilleur, il cède trop au pire.
Il a cru de tout temps avoir sur eux empire
Mais s’il perd le contrôle après sa perte il court.
Il vient semer des graines pour donner blé ou mil
Quand il tient les promesses qu’il nous a faites un jour
De donner de lui même le meilleur du labour.
Il est tout comme l’eau qui répand ses bienfaits
Qui emporte avec lui tout un flot de caresses
Quand tout comme l’ondée il humecte les cœurs
Et qu’il met à la voile sur le bateau bonheur.
Il est bien comme l’air qui voyage sans cesse
Comme ces vents propices aux marins de l’ailleurs
Quand il souffle en zéphyr pour chasser ce qui blesse
Quand tel un tourbillon il balaie les erreurs.
Il est comme un feu qui brûle en dedans
Qui donne l’énergie qui pousse aux élans
Quand il vient consumer nos questions et nos doutes
Éclairer de ses torches nos chemins et nos routes.
Ainsi quatre éléments alliés qui se conjuguent
Quand il sait en user avec discernement
Mais devant la passion souvent sa raison fugue
Et voit se déchaîner ses atouts follement.
Alors le feu consume ce à quoi il tenait
Alors l’eau le submerge pour aussi tout noyer
Alors souffle en tempête l’air en vent déchaîné
Alors enfouis en terre tous ses espoirs brisés.
L’homme a tout pouvoir sur tout ce qui l’entoure
Mais s’il peut le meilleur, il cède trop au pire.
Il a cru de tout temps avoir sur eux empire
Mais s’il perd le contrôle après sa perte il court.

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