Toutes les lois.
Publié le 04 août 2025
moins d'une minute de lecture
4 lecture
(0)
Lorsque le citadin dit qu’il se met au vert
C’est qu’un coin de campagne il s’est alors offert
Avec un cortège de belles illusions
Telle Marie-Antoinette au petit Trianon.
Pas d’odeur de fumier ni de volées de mouches
Pas de chant du coq, non plus de coups de fourche
Sans aucune abeille, seul le miel du rucher
Sans entendre au réveil aucun bruit de clocher.
Mais tout y est à prendre, rien n’est à laisser
Tu choisis la campagne, tu dois en accepter
Les côtés agréables comme les moins prisés.
Tes propres préférences tu ne peux imposer.
Lorsque tu es en ville, c’est le bruit des autos
Les odeurs d’essence qui constitue ton lot.
Si tu viens à t’en plaindre tu n’y peux rien changer
Au réel des campagnes, ne soit pas étranger.
Si tu viens chez nous en terres inconnues
Sache que tu y seras bien sûr le bienvenu
Dès lors que tu intègres que tu n’y est chez toi
Que si tu en acceptes alors toutes les lois.
C’est qu’un coin de campagne il s’est alors offert
Avec un cortège de belles illusions
Telle Marie-Antoinette au petit Trianon.
Pas d’odeur de fumier ni de volées de mouches
Pas de chant du coq, non plus de coups de fourche
Sans aucune abeille, seul le miel du rucher
Sans entendre au réveil aucun bruit de clocher.
Mais tout y est à prendre, rien n’est à laisser
Tu choisis la campagne, tu dois en accepter
Les côtés agréables comme les moins prisés.
Tes propres préférences tu ne peux imposer.
Lorsque tu es en ville, c’est le bruit des autos
Les odeurs d’essence qui constitue ton lot.
Si tu viens à t’en plaindre tu n’y peux rien changer
Au réel des campagnes, ne soit pas étranger.
Si tu viens chez nous en terres inconnues
Sache que tu y seras bien sûr le bienvenu
Dès lors que tu intègres que tu n’y est chez toi
Que si tu en acceptes alors toutes les lois.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.