Train denfer.
Publié le 04 août 2025
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A un vrai train d’enfer toute vie se déroule
Quand elle file droit sur des rails sans accrocs
Il suffit toutefois qu’en soit brisé le moule
Pour en voir un visage qui montre alors ses crocs.
On voit bien la confiance dans les yeux des chanceux
Qui survole le pire de là-haut où ils siègent
Comme plane le doute dans les yeux de tous ceux
Qui goûtent de la vie les écueils et les pièges.
N’est-ce que le hasard qui gouverne ces sorts,
Qui décide à son gré, de la vie et la mort,
Ou a-t-on quelque prise sur le choix du parcours ?
Après cette question depuis longtemps je cours.
J’ai eu beaucoup de chances et quelques avanies
D’y avoir quelque part, cela je ne le nie
Des bonheurs et malheurs dont ne suis responsable
D’autres, où je l’avoue, je suis un peu coupable.
De poèmes sans fin je suis au vrai l’auteur
Sans savoir bien pourquoi cela me tient à cœur
Certes je tiens la plume, mais d’où viennent ces mots
Qui se pressent sans cesse en de fiévreux troupeaux ?
Nous sommes embarqués sans bien l’avoir voulu
Dans cette aventure qu’est la vie d’un humain
Toujours je me demande, oui vous avez bien lu
Si nous tenons la barre et si l’on a la main.
Quand elle file droit sur des rails sans accrocs
Il suffit toutefois qu’en soit brisé le moule
Pour en voir un visage qui montre alors ses crocs.
On voit bien la confiance dans les yeux des chanceux
Qui survole le pire de là-haut où ils siègent
Comme plane le doute dans les yeux de tous ceux
Qui goûtent de la vie les écueils et les pièges.
N’est-ce que le hasard qui gouverne ces sorts,
Qui décide à son gré, de la vie et la mort,
Ou a-t-on quelque prise sur le choix du parcours ?
Après cette question depuis longtemps je cours.
J’ai eu beaucoup de chances et quelques avanies
D’y avoir quelque part, cela je ne le nie
Des bonheurs et malheurs dont ne suis responsable
D’autres, où je l’avoue, je suis un peu coupable.
De poèmes sans fin je suis au vrai l’auteur
Sans savoir bien pourquoi cela me tient à cœur
Certes je tiens la plume, mais d’où viennent ces mots
Qui se pressent sans cesse en de fiévreux troupeaux ?
Nous sommes embarqués sans bien l’avoir voulu
Dans cette aventure qu’est la vie d’un humain
Toujours je me demande, oui vous avez bien lu
Si nous tenons la barre et si l’on a la main.

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