Triolets sur la douleur.
Publié le 04 août 2025
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Quand elle advient elle s’impose
Elle envahit tout le conscient
Il n’existe plus autre chose
Quand elle advient, elle s’impose.
On ne voit plus la vie en rose
Plus moyen d’être insouciant.
Quand elle advient, elle s’impose
Elle envahit tout le conscient.
C’est une vraie malédiction
Qui empoisonne toute vie
C’est notre triste condition
C’est une vraie malédiction.
C’est du moins là, mon opinion
D’elle qui en aurait l’envie ?
C’est une vraie malédiction
Qui empoisonne toute vie.
Heureux celui qu’elle ne trouve
Heureux qui en est libéré,
Heureux celui qu’elle n’éprouve
Heureux celui qu’elle ne trouve.
Que plus jamais elle n’y couve
Et ne vienne nous torturer.
Heureux celui qu’elle ne trouve
Heureux qui en est libéré.
Elle envahit tout le conscient
Il n’existe plus autre chose
Quand elle advient, elle s’impose.
On ne voit plus la vie en rose
Plus moyen d’être insouciant.
Quand elle advient, elle s’impose
Elle envahit tout le conscient.
C’est une vraie malédiction
Qui empoisonne toute vie
C’est notre triste condition
C’est une vraie malédiction.
C’est du moins là, mon opinion
D’elle qui en aurait l’envie ?
C’est une vraie malédiction
Qui empoisonne toute vie.
Heureux celui qu’elle ne trouve
Heureux qui en est libéré,
Heureux celui qu’elle n’éprouve
Heureux celui qu’elle ne trouve.
Que plus jamais elle n’y couve
Et ne vienne nous torturer.
Heureux celui qu’elle ne trouve
Heureux qui en est libéré.

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