Trop tard !
Publié le 04 août 2025
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Quand on parle d’éclair, quand on rêve d’étoile
Je ne vois que brouillard qui règne sur ma toile.
Quand on voudrait lueur, qu’on se nourrit d’espoir
Je n’attends même plus que tu viennes ce soir.
Tu étais la lumière, tu étais le soleil
Tu brillais d’un éclat à nul autre pareil
Tu étais la chaleur, et tu étais le feu
Plus rien ne me réchauffe, pas même un petit peu.
Je suis une planète aussi gelée que morte
Depuis que tu es partie en claquant fort la porte.
Je ressens un grand vide à présent tout en moi
Que tu occupais seule, comprends-tu tout ce froid ?
Il me reste un amour débordant, inutile
Je me sens à présent comme un grand imbécile.
Je n’ai pas su te dire, je n’ai trouvé les mots
Pour te dire je t’aime, je veux bien d’un marmot.
Je ne vois que brouillard qui règne sur ma toile.
Quand on voudrait lueur, qu’on se nourrit d’espoir
Je n’attends même plus que tu viennes ce soir.
Tu étais la lumière, tu étais le soleil
Tu brillais d’un éclat à nul autre pareil
Tu étais la chaleur, et tu étais le feu
Plus rien ne me réchauffe, pas même un petit peu.
Je suis une planète aussi gelée que morte
Depuis que tu es partie en claquant fort la porte.
Je ressens un grand vide à présent tout en moi
Que tu occupais seule, comprends-tu tout ce froid ?
Il me reste un amour débordant, inutile
Je me sens à présent comme un grand imbécile.
Je n’ai pas su te dire, je n’ai trouvé les mots
Pour te dire je t’aime, je veux bien d’un marmot.

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