Un amour silencieux.
Publié le 04 août 2025
2 minutes de lecture
4 lecture
(0)
Ouverts à tous les vents de tendresse qui passent
Il y a des cœurs comme ça, tant l’amour les dépasse
Fermés à double-tour, bien mieux que forteresses
D’autres cœurs sont ainsi, qu’un chant d’amour les blesse.
Quand l’amour est donné comme coulée de miel
Il vous fait entrevoir jusqu’au septième ciel
Mais s’il est enlevé il laisse un goût de fiel
À la place un grand vide, au vrai confidentiel.
Attention à l’amour, c’est un ange cruel
Dont les flèches on le sait peuvent être mortelles
Les unes sont dit-on enduites de pollen
D’autres las d’un poison, qui ressemble à la haine.
C’était mon jour de chance quand l’une m’a frappé
Ce jour là le carquois devait distribuer
Des traits chargés d’amour comme on peut en rêver
Qui ne cesse en moi de toujours distiller.
J’y vois là la raison de cet amour immense
Que j’ai pour mes prochains ou l’étranger qui passe
Je n’y ai de mérites, seulement cette chance
Que la vie m’a donné cette grande confiance.
Aussi je dis merci à cette providence
Qui m’a mis à l’abri de la méchanceté
Qui a su m’épargner tous ces coups de lance
Que reçoivent hélas d’autres vies malmenées.
Pour chaque coeur blessé qui est à reconstruire
Il existe une clef qui peut un jour l’ouvrir
Il y faut de l’effort, de la persévérance
Un amour silencieux, surtout de la patience.
Il y a des cœurs comme ça, tant l’amour les dépasse
Fermés à double-tour, bien mieux que forteresses
D’autres cœurs sont ainsi, qu’un chant d’amour les blesse.
Quand l’amour est donné comme coulée de miel
Il vous fait entrevoir jusqu’au septième ciel
Mais s’il est enlevé il laisse un goût de fiel
À la place un grand vide, au vrai confidentiel.
Attention à l’amour, c’est un ange cruel
Dont les flèches on le sait peuvent être mortelles
Les unes sont dit-on enduites de pollen
D’autres las d’un poison, qui ressemble à la haine.
C’était mon jour de chance quand l’une m’a frappé
Ce jour là le carquois devait distribuer
Des traits chargés d’amour comme on peut en rêver
Qui ne cesse en moi de toujours distiller.
J’y vois là la raison de cet amour immense
Que j’ai pour mes prochains ou l’étranger qui passe
Je n’y ai de mérites, seulement cette chance
Que la vie m’a donné cette grande confiance.
Aussi je dis merci à cette providence
Qui m’a mis à l’abri de la méchanceté
Qui a su m’épargner tous ces coups de lance
Que reçoivent hélas d’autres vies malmenées.
Pour chaque coeur blessé qui est à reconstruire
Il existe une clef qui peut un jour l’ouvrir
Il y faut de l’effort, de la persévérance
Un amour silencieux, surtout de la patience.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.