Un bon dessein
Publié le 04 août 2025
2 minutes de lecture
6 lecture
(0)
Un bon dessin vaut bien plus que mille discours
Qui n’a point entendu ce propos qui a cours.
Ainsi paraphraser un tableau, une scène
Juste en la décrivant, ça n’en vaut pas la peine.
Quand l’image vous imprègne d’un effet immédiat
Les mots exigent eux, c’est un autre média,
Un peu de réflexion, subtiles émotions,
Donnant la liberté de vous poser questions.
Mes textes ne comportent que courtes descriptions
Juste assez pour planter une ambiance, un décor,
C’est à vous, à les lire, d’accueillir l’émotion
Ou suivre le chemin qui voudra prendre corps.
Je ne cherche non plus à vous perdre de trop
Dans des formules absconses, dans de fumeux propos.
Je cherche à être clair, et à choisir mes mots,
Même, et si parfois, ils se pressent en troupeaux.
Je ne suis pas un peintre, doué pour les images
Je suis plutôt friand d’idées, et de message,
Je n’ai la prétention, pour autant, d’être un sage,
Je compte trop d’erreurs au sein de mes bagages.
La quête est sans fin et c’est très bien ainsi
Je serai trop navré qu’elle soit un jour finie.
Une vie ne suffit pour comprendre le monde
Mais on peut essayer, sans perdre une seconde.
Qui n’a point entendu ce propos qui a cours.
Ainsi paraphraser un tableau, une scène
Juste en la décrivant, ça n’en vaut pas la peine.
Quand l’image vous imprègne d’un effet immédiat
Les mots exigent eux, c’est un autre média,
Un peu de réflexion, subtiles émotions,
Donnant la liberté de vous poser questions.
Mes textes ne comportent que courtes descriptions
Juste assez pour planter une ambiance, un décor,
C’est à vous, à les lire, d’accueillir l’émotion
Ou suivre le chemin qui voudra prendre corps.
Je ne cherche non plus à vous perdre de trop
Dans des formules absconses, dans de fumeux propos.
Je cherche à être clair, et à choisir mes mots,
Même, et si parfois, ils se pressent en troupeaux.
Je ne suis pas un peintre, doué pour les images
Je suis plutôt friand d’idées, et de message,
Je n’ai la prétention, pour autant, d’être un sage,
Je compte trop d’erreurs au sein de mes bagages.
La quête est sans fin et c’est très bien ainsi
Je serai trop navré qu’elle soit un jour finie.
Une vie ne suffit pour comprendre le monde
Mais on peut essayer, sans perdre une seconde.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.