Un endroit idéal
Publié le 04 août 2025
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Un arbre un matin m’a montré le chemin
Il se tenait tranquille comme une sentinelle
Parmi ses frondaisons s’entendaient des bruits d’ailes
J’ai senti sa belle âme me prendre par la main.
Cesse ainsi de chercher sans savoir où tu vas,
Voilà qu’il murmurait ces quelques mots tout bas,
Arrête et pose toi, laisse la paix en toi
Éclaircir tes pensées et te montrer la voie.
Je me suis donc assis à l’abri de ses branches
Le dos contre son tronc, j’ai reposé mes manches
Sur ses grosses racines, alors ma tête penche
Je m’endors et un rêve aussitôt se déclenche.
Je vois droit devant moi un grand champ de bataille
Des hommes s’y étripent, répandent leurs entrailles
Ce chemin n’est pour moi je n’aime ces combats
Car si l’on en ressort c’est pour tomber plus bas.
J’aperçois à ma droite un très grand hôpital
D’où sortent et entrent des milliers de gens
Je connais ce chemin il ne mène à rien
On y soigne les corps mais la paix en est loin.
Je distingue une école accueillant des gamins
Où sans doute on enseigne et où on le fait bien
Mais toutes les leçons je les ai toutes apprises
Sans y trouver jamais que des réponses grises.
Je me trouve ensuite face à un grand espace
Et juste à sa lisière se trouve un grand arbre
Et je sais à l’instant ce que j’ai découvert
Un lieu idéal pour y rêver mes vers.
Il se tenait tranquille comme une sentinelle
Parmi ses frondaisons s’entendaient des bruits d’ailes
J’ai senti sa belle âme me prendre par la main.
Cesse ainsi de chercher sans savoir où tu vas,
Voilà qu’il murmurait ces quelques mots tout bas,
Arrête et pose toi, laisse la paix en toi
Éclaircir tes pensées et te montrer la voie.
Je me suis donc assis à l’abri de ses branches
Le dos contre son tronc, j’ai reposé mes manches
Sur ses grosses racines, alors ma tête penche
Je m’endors et un rêve aussitôt se déclenche.
Je vois droit devant moi un grand champ de bataille
Des hommes s’y étripent, répandent leurs entrailles
Ce chemin n’est pour moi je n’aime ces combats
Car si l’on en ressort c’est pour tomber plus bas.
J’aperçois à ma droite un très grand hôpital
D’où sortent et entrent des milliers de gens
Je connais ce chemin il ne mène à rien
On y soigne les corps mais la paix en est loin.
Je distingue une école accueillant des gamins
Où sans doute on enseigne et où on le fait bien
Mais toutes les leçons je les ai toutes apprises
Sans y trouver jamais que des réponses grises.
Je me trouve ensuite face à un grand espace
Et juste à sa lisière se trouve un grand arbre
Et je sais à l’instant ce que j’ai découvert
Un lieu idéal pour y rêver mes vers.

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