Un goût de miel.
Publié le 04 août 2025
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Tu es la source où je me perds
Et le langage de mes vers
Je t’appartiens sans concession
Te sollicite avec passion.
Quand tu me prends c’est par le cœur
Les émotions et leurs couleurs
Quand tu m’emportes, c’est dans l’ailleurs
Pour y être ton orpailleur.
Tu m’as ouvert à l’indicible
À la nature sans artifices
Avec toi plus rien d’impossible
Pas même l’ultime sacrifice.
Ah ! M’oublier dans ton courant
Ou m’envoler tel l’innocent.
Je ne sais rien de ta substance
Qui nourrit tant mon existence.
J’aperçois bien quelques lumières
Dans les ombres de mes prières,
Ces mots que tu viens murmurer
À mon esprit si emmuré.
Je me complais dans ton mystère
Dans ton ouate ou ton enfer
Si les flammes y montent au ciel
Ta chair conserve un goût de miel.
Et le langage de mes vers
Je t’appartiens sans concession
Te sollicite avec passion.
Quand tu me prends c’est par le cœur
Les émotions et leurs couleurs
Quand tu m’emportes, c’est dans l’ailleurs
Pour y être ton orpailleur.
Tu m’as ouvert à l’indicible
À la nature sans artifices
Avec toi plus rien d’impossible
Pas même l’ultime sacrifice.
Ah ! M’oublier dans ton courant
Ou m’envoler tel l’innocent.
Je ne sais rien de ta substance
Qui nourrit tant mon existence.
J’aperçois bien quelques lumières
Dans les ombres de mes prières,
Ces mots que tu viens murmurer
À mon esprit si emmuré.
Je me complais dans ton mystère
Dans ton ouate ou ton enfer
Si les flammes y montent au ciel
Ta chair conserve un goût de miel.

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