Un poème.
Publié le 04 août 2025
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La vie reste un mystère. Pourquoi un jour ce souffle ?
Qui anime soudain la matière, et s’essouffle
Un autre jour lointain où ce feu d’amadou
Finira par s’éteindre pour aller dieu sait où ?
La vie est un poème, un début, une fin
Il naît comme promesse, alors qu’il n’est qu’un nain
Ensuite il progresse pour mieux briller enfin
Plus dure est sa chute, quand survient le déclin.
La vie est un poème tout rempli d’émotions
Un vers dira la joie, un autre les tourments
Aucun vers toutefois ne triche ou ne ment
Chacun son labyrinthe, mais même conclusion.
Toute vie suit son cours. qu’il soit long ou trop court
Les chanceux connaîtront ce qu’elle offre d’amour
Plus nombreux sont tous ceux pour qui son poids est lourd
La vie n’a de morale que d’avancer toujours.
Je ne sais de la vie que ce que j’en comprends
Je sais trop les limites dans lesquelles elle me prend.
Et j’écris dans l’espoir d’écarter les barrières
Qui hébergent les ombres qui cachent sa lumière.
La vie comme le temps à son propre empire.
Si le temps lui demeure hors de toute atteinte,
La vie est plus fragile que l’homme peut éteindre.
La vie est un poème que l’homme ne sait lire.
Qui anime soudain la matière, et s’essouffle
Un autre jour lointain où ce feu d’amadou
Finira par s’éteindre pour aller dieu sait où ?
La vie est un poème, un début, une fin
Il naît comme promesse, alors qu’il n’est qu’un nain
Ensuite il progresse pour mieux briller enfin
Plus dure est sa chute, quand survient le déclin.
La vie est un poème tout rempli d’émotions
Un vers dira la joie, un autre les tourments
Aucun vers toutefois ne triche ou ne ment
Chacun son labyrinthe, mais même conclusion.
Toute vie suit son cours. qu’il soit long ou trop court
Les chanceux connaîtront ce qu’elle offre d’amour
Plus nombreux sont tous ceux pour qui son poids est lourd
La vie n’a de morale que d’avancer toujours.
Je ne sais de la vie que ce que j’en comprends
Je sais trop les limites dans lesquelles elle me prend.
Et j’écris dans l’espoir d’écarter les barrières
Qui hébergent les ombres qui cachent sa lumière.
La vie comme le temps à son propre empire.
Si le temps lui demeure hors de toute atteinte,
La vie est plus fragile que l’homme peut éteindre.
La vie est un poème que l’homme ne sait lire.

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