Une salve de trois rondels
Publié le 04 août 2025
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Pour bien commencer la journée
Stupéfait.
Quand dans le corps n’est de douleur
Combien la vie semble parfaite.
Tous les jours peuvent être fête
Ils prennent tous jolies couleurs.
Mais qu’elle nous frappe droit au cœur
Et la vie semble contrefaite.
Quand dans le corps n’est de douleurCombien la vie semble parfaite.
Quand dans le corps n’est de douleur
Combien la vie semble parfaite.
De quoi vraiment avons-nous peur
C’est d’avouer notre défaite
Tant notre âme est stupéfaite.
Nous ne voulons que le meilleur
Quand dans nos corps n’est de douleur.
Pour que la poésie soit exquise
Elle doit nous transporter ailleurs
Vers un monde ou un jour meilleur
Combien alors elle nous grise
Parfois hélas et c’est méprise
Elle n’a trouvé son orpailleur
Pour que la poésie soit exquise
Elle doit nous transporter ailleurs.
Ce que bien des poètes visent
C’est de procurer ce bonheur
À chacun des futurs lecteurs
Ce n’est là toujours chose acquise
Pour que la poésie soit exquise.
Lointain.
Quand ils se tournent vers demain
Les yeux sont ceux de la jeunesse
Qui tient l’espoir entre ses mains
A voir hier jamais s’abaisse.
Quand le regard un peu s’éteint
Les yeux sont ceux de la vieillesse
Quand ils se tournent vers demainLes yeux sont ceux de la jeunesse
Quand ils se tournent vers demain
Les yeux sont ceux de la jeunesse
Lorsque tout projet paraît vain
Que d’y croire un jour on cesse
On a perdu de sa hardiesse
Les temps paraissent alors lointain
Quand ils se tournent vers demain.
Stupéfait.
Quand dans le corps n’est de douleur
Combien la vie semble parfaite.
Tous les jours peuvent être fête
Ils prennent tous jolies couleurs.
Mais qu’elle nous frappe droit au cœur
Et la vie semble contrefaite.
Quand dans le corps n’est de douleurCombien la vie semble parfaite.
Quand dans le corps n’est de douleur
Combien la vie semble parfaite.
De quoi vraiment avons-nous peur
C’est d’avouer notre défaite
Tant notre âme est stupéfaite.
Nous ne voulons que le meilleur
Quand dans nos corps n’est de douleur.
Pour que la poésie soit exquise
Elle doit nous transporter ailleurs
Vers un monde ou un jour meilleur
Combien alors elle nous grise
Parfois hélas et c’est méprise
Elle n’a trouvé son orpailleur
Pour que la poésie soit exquise
Elle doit nous transporter ailleurs.
Ce que bien des poètes visent
C’est de procurer ce bonheur
À chacun des futurs lecteurs
Ce n’est là toujours chose acquise
Pour que la poésie soit exquise.
Lointain.
Quand ils se tournent vers demain
Les yeux sont ceux de la jeunesse
Qui tient l’espoir entre ses mains
A voir hier jamais s’abaisse.
Quand le regard un peu s’éteint
Les yeux sont ceux de la vieillesse
Quand ils se tournent vers demainLes yeux sont ceux de la jeunesse
Quand ils se tournent vers demain
Les yeux sont ceux de la jeunesse
Lorsque tout projet paraît vain
Que d’y croire un jour on cesse
On a perdu de sa hardiesse
Les temps paraissent alors lointain
Quand ils se tournent vers demain.

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