Une vie arc-en-ciel.
Publié le 04 août 2025
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Je n’ai pas eu le cœur de te cacher le ciel
Où s’estompe hélas le dernier arc-en-ciel
Il te restait cela, la vue de ces couleurs
Pour oublier un peu l’assaut de ta douleur.
Tu fus vite amoureuse de cette couleur bleue
Aucune à cette teinte ne s’avère semblable.
Plus tard tu as aimé très vite le violet
Que pourtant tant de gens trouvent vulgaire et laid
C’est la couleur des fleurs celle surtout qu’on prête
Aux fragiles pétales des petites violettes.
Quand devenue plus grande un jour bien sûr tu manges
De ces fruits exotiques qu’on appelle oranges
Et c’est ce goût sucré si joyeux sous la langue
Que tu as préféré même au jus des mangues.
Tu as fait bien des fêtes dans des bars, dans des bouges
Où les lumières étaient toutes de couleur rouge.
Tout comme à une époque dans l’empire de Chine
Où dans de beaux palais vivaient les concubines.
Tu découvris l’amour celui qui éblouit
Tout comme le soleil quand on brave son jaune
Ces moments où l’on jouit aussi on se réjouit
De vivre aussi libre que l’est une amazone.
Plus tard devenue vieille, tu es venue te mettre au vert
Dans ces beaux paysages de nature offerts.
C’est là que peu à peu s’éteignent les couleurs
Qui firent de ta vie ce joli arc en ciel
Je m’essaie par ces mots d’apaiser tes douleurs
Que déjà tes beaux yeux se tournent vers le ciel.
Où s’estompe hélas le dernier arc-en-ciel
Il te restait cela, la vue de ces couleurs
Pour oublier un peu l’assaut de ta douleur.
Tu fus vite amoureuse de cette couleur bleue
Aucune à cette teinte ne s’avère semblable.
Plus tard tu as aimé très vite le violet
Que pourtant tant de gens trouvent vulgaire et laid
C’est la couleur des fleurs celle surtout qu’on prête
Aux fragiles pétales des petites violettes.
Quand devenue plus grande un jour bien sûr tu manges
De ces fruits exotiques qu’on appelle oranges
Et c’est ce goût sucré si joyeux sous la langue
Que tu as préféré même au jus des mangues.
Tu as fait bien des fêtes dans des bars, dans des bouges
Où les lumières étaient toutes de couleur rouge.
Tout comme à une époque dans l’empire de Chine
Où dans de beaux palais vivaient les concubines.
Tu découvris l’amour celui qui éblouit
Tout comme le soleil quand on brave son jaune
Ces moments où l’on jouit aussi on se réjouit
De vivre aussi libre que l’est une amazone.
Plus tard devenue vieille, tu es venue te mettre au vert
Dans ces beaux paysages de nature offerts.
C’est là que peu à peu s’éteignent les couleurs
Qui firent de ta vie ce joli arc en ciel
Je m’essaie par ces mots d’apaiser tes douleurs
Que déjà tes beaux yeux se tournent vers le ciel.

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