Virevoltes.
Publié le 04 août 2025
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Des corps sur une scène qui jouent et se balancent
Des mouvements, des gestes se nouent dans une danse
Un langage sans mots oh combien éloquent
Qui déchire l’espace et qui au cœur nous prend
Un rythme, une musique et un enchantement
Où bras, jambes et têtes balayent en tournoiements
Un air où ils dessinent d’étranges arabesques
Qui sont au gré du jour burlesques ou romanesques.
À un, à deux, à cent, ils sautent et ils volent
Ils s’apparient parfois lorsqu’ils ne s’entremêlent,
Inventant des figures qui subliment le corps
Pour dire la nature, tant de choses encore.
Tout comme la musique ou bien la poésie
Comme chacun des arts, la danse est surprenante
Elle réjouit autant, qu’elle soit libre ou savante,
Si l’on sent l’émotion à qui elle donne vie.
Je ne me lasse point de tous ces entrechats
De ces acrobaties, de ces envolées là
A voir les corps s’abstraire de cette gravité
Qui cloue mon propre corps bien trop lourd au plancher.
Des mouvements, des gestes se nouent dans une danse
Un langage sans mots oh combien éloquent
Qui déchire l’espace et qui au cœur nous prend
Un rythme, une musique et un enchantement
Où bras, jambes et têtes balayent en tournoiements
Un air où ils dessinent d’étranges arabesques
Qui sont au gré du jour burlesques ou romanesques.
À un, à deux, à cent, ils sautent et ils volent
Ils s’apparient parfois lorsqu’ils ne s’entremêlent,
Inventant des figures qui subliment le corps
Pour dire la nature, tant de choses encore.
Tout comme la musique ou bien la poésie
Comme chacun des arts, la danse est surprenante
Elle réjouit autant, qu’elle soit libre ou savante,
Si l’on sent l’émotion à qui elle donne vie.
Je ne me lasse point de tous ces entrechats
De ces acrobaties, de ces envolées là
A voir les corps s’abstraire de cette gravité
Qui cloue mon propre corps bien trop lourd au plancher.

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