VOICI LA LISTE DES 10 MOTS :ANCRECANERCARNECERNA (conjugaison du verbe CERNER à la troisième personne du passé simple)CRÂNECRÉNA (conjugaison du verbe CRÉNER, ancienne forme de CRANTER ou ENTAILLER à
Publié le 04 août 2025
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VOICI LA LISTE DES 10 MOTS :
ANCRE
CANER
CARNE
CERNA (conjugaison du verbe CERNER à la troisième personne du passé simple)
CRÂNE
CRÉNA (conjugaison du verbe CRÉNER, ancienne forme de CRANTER ou ENTAILLER à la troisième personne du passé simple)
ÉCRAN
ENCRA (conjugaison du verbe ENCRER à la troisième personne du passé simple)
NACRE
RANCE
À vous de jouer... N'oubliez pas de me notifier et de numéroter vos textes pour me faciliter le suivi, je vous en suis reconnaissant par avance 😍
Bon amusement les Zinzins 🤪😂
PS : les mots du défi en MAJUSCULES seraient un plus appréciable 😉
Une odeur RANCE
Devant ce beau défi exigeant jus de CRÂNE
Qui saura d’entre nous en aucun cas CANER ?
Moi au port des zinzins je viens jeter mon ANCRE
Pour venir m’y mirer dans son eau couleur NACRE.
Jadis un doute en cela je le dis me CERNA
Jusqu’à en défaillir j’avoue qu’il me CRÉNA
Mais très vite la page de bien de mots j’ENCRA
Le voile alors tomba qui y faisait ÉCRAN.
Depuis ce doute gît comme une vieille CARNE
Ne m’en parvient pas plus son odeur par trop RANCE !
Le couteau de NACRE.
J’admirais ce couteau au beau manche de NACRE
Dans le poing du marin qui voulait me CANER
Cet homme ne vaut rien ce n’est là qu’une CARNE
Venu de ce bateau qui tôt a jeté l’ANCRE.
Je vous raconte ça car hier il me CERNA
Il s’en fallut de peu qu’alors il me CRÉNA
Alors je lui jetai ma chemise en ÉCRAN
Elle avait malgré moi une odeur vraiment RANCE
Je lui criai très fort, je crois que ça s’ENCRA
Je suis un capitaine mon drapeau porte un CRÂNE
alors reste en là !
Le royaume
Je suis comme Hamlet et dans la main un CRÂNE
Sachez c’était celui de cette vieille CARNE
Une femme odieuse à l’odeur un peu RANCE
Au pouvoir que je veux elle faisait ÉCRAN.
Toute ma jeunesse ainsi elle me CERNA
Sans doute qu’en pensée aussi elle me CRÉNA
Par chance la prophétie dans un texte s’ENCRA
Telle qu’elle ne pouvait pas vraiment me CANER
Elle disait que l’enfant aux beaux ongles de NACRE
Était seul avenir où le royaume s’ANCRE.
La poésie de NACRE.
Un souvenir surgit tout au fond de mon CRÂNE
Souvenir d’un passé où je pensais CANER.
Ma vie avait alors comme un goût de RANCE
Tout semblait au bonheur vouloir faire ÉCRAN.
Un jour je rencontrais celle qui me CERNA
Qui me dit tu ressembles à une vieille CARNE
Tu ne fais pas envie, et ce mot me CRÉNA
Si tu veux que l’espoir à nouveau en toi s’ANCRE
Tu dois puiser en toi la poésie de NACRE
Dont toi seul à la clef, c’est ainsi qu’elle s’ENCRA.
Recrutement
L’adolescent rebelle adopte cet air CRÂNE
Celui qui veut vous dire c’est gagner ou CANER
Il n’abusait personne, pas moi qui le CERNA
Je sentais bien sa peur, la petite odeur RANCE
À laquelle bien sûr il voulait faire ÉCRAN.
Je pris dedans la trousse le peigne aux dents de NACRE
Qui dans sa chevelure avec force CRÉNA
Le pauvre à l’armée venait de jeter l’ANCRE
De griffonner son nom au papier qu’il ENCRA
Jurant fidélité à une vieille CARNE
Ce sergent recruteur et son joli bla-bla.
Un moment de faiblesse
Ma main à la recherche d’une entaille CRÉNA
au flanc de la falaise elle cherchait une ANCRE
Je sentais que la peur diffusait l’odeur RANCE
J’étais alors trop jeune pour sur ce coup CANER.
La roche à cet endroit était couleur de NACRE
Réfléchissant par trop cela faisait ÉCRAN
La flaque de lumière ce jour là me CERNA
Je n’avais plus le cœur à prendre mon air CRÂNE.
Ce n’est que bien plus tard quand je fus vieille CARNE
Que l’instant de faiblesse dans un conte s’ENCRA.
L’appât.
Un jour me promenant je humais l’odeur RANCE
Cette senteur putride de qui vient à CANER
J’aperçus pas très loin une très vieille CARNE
Au milieu de ses restes luisait déjà son CRÂNE.
Je pris mon grand mouchoir pour en faire un ÉCRAN
Les os la transperçaient de leur couleur de NACRE.
Puis je vis cette chaîne à son cou comme une ANCRE
La rendant impuissante quand la meute la CERNA
Que la dent ou la griffe dans sa chair se CRÉNA.
Dans ma seule mémoire cette histoire s’ENCRA.
Devant l’ECRAN.
Mais qu’est-ce que tu as bourricot dans le CRÂNE
Quand aucune leçon que je donne ne s’ANCRE
Lui dit un jour le maître qui alors le CERNA
Ses doigts dans ses cheveux que très fort il CRÉNA.
Ce vieil homme ronchon était une vraie CARNE
Son haleine puante avait le relent RANCE.
Le pauvre écolier cru même en CANER.
Depuis lorsqu’il joue assis devant l’ECRAN
Il voit parfois jouer dans ses reflets de NACRE
Les doigts crochus du maître qui sa tête ENCRA.
Une pauvre CARNE
D’une main appliquée la page blanche ENCRA
Suivant toujours l’idée qui ce jour me CERNA
De ce coin de mémoire cachée dedans mon CRÂNE
Elle apparut soudain comme sur un ÉCRAN.
C’était il y a longtemps tout au bout de la RANCE
Là où aucun bateau jamais bien sûr ne s’ANCRE.
Car la houle de mer qui toujours y CRÉNA
Ne permet d’y rester qu’aux coquilles de NACRE.
Jadis las s’y risqua juste une pauvre CARNE
Qui vint par accident s’échouer et CANER.
La marée.
J’ai bien cru cette fois que j’allais là CANER
Qu’on trouverait de moi juste une pauvre CARNE
Attiré vers ce lieu par une odeur RANCE
Ce n’est pourtant encore que voulais jeter l’ANCRE.
La marée qui montait et alors me CERNA
Entouré de ses flots à l’écume de NACRE
Les orteils dans le sable de mes ongles y CRÉNA
Espérant bien que l’eau n’atteigne pas mon CRÂNE.
J’imagine la scène comme sur un ÉCRAN
C’est celle qui en moi et pour toujours s’ENCRA.
ANCRE
CANER
CARNE
CERNA (conjugaison du verbe CERNER à la troisième personne du passé simple)
CRÂNE
CRÉNA (conjugaison du verbe CRÉNER, ancienne forme de CRANTER ou ENTAILLER à la troisième personne du passé simple)
ÉCRAN
ENCRA (conjugaison du verbe ENCRER à la troisième personne du passé simple)
NACRE
RANCE
À vous de jouer... N'oubliez pas de me notifier et de numéroter vos textes pour me faciliter le suivi, je vous en suis reconnaissant par avance 😍
Bon amusement les Zinzins 🤪😂
PS : les mots du défi en MAJUSCULES seraient un plus appréciable 😉
Une odeur RANCE
Devant ce beau défi exigeant jus de CRÂNE
Qui saura d’entre nous en aucun cas CANER ?
Moi au port des zinzins je viens jeter mon ANCRE
Pour venir m’y mirer dans son eau couleur NACRE.
Jadis un doute en cela je le dis me CERNA
Jusqu’à en défaillir j’avoue qu’il me CRÉNA
Mais très vite la page de bien de mots j’ENCRA
Le voile alors tomba qui y faisait ÉCRAN.
Depuis ce doute gît comme une vieille CARNE
Ne m’en parvient pas plus son odeur par trop RANCE !
Le couteau de NACRE.
J’admirais ce couteau au beau manche de NACRE
Dans le poing du marin qui voulait me CANER
Cet homme ne vaut rien ce n’est là qu’une CARNE
Venu de ce bateau qui tôt a jeté l’ANCRE.
Je vous raconte ça car hier il me CERNA
Il s’en fallut de peu qu’alors il me CRÉNA
Alors je lui jetai ma chemise en ÉCRAN
Elle avait malgré moi une odeur vraiment RANCE
Je lui criai très fort, je crois que ça s’ENCRA
Je suis un capitaine mon drapeau porte un CRÂNE
alors reste en là !
Le royaume
Je suis comme Hamlet et dans la main un CRÂNE
Sachez c’était celui de cette vieille CARNE
Une femme odieuse à l’odeur un peu RANCE
Au pouvoir que je veux elle faisait ÉCRAN.
Toute ma jeunesse ainsi elle me CERNA
Sans doute qu’en pensée aussi elle me CRÉNA
Par chance la prophétie dans un texte s’ENCRA
Telle qu’elle ne pouvait pas vraiment me CANER
Elle disait que l’enfant aux beaux ongles de NACRE
Était seul avenir où le royaume s’ANCRE.
La poésie de NACRE.
Un souvenir surgit tout au fond de mon CRÂNE
Souvenir d’un passé où je pensais CANER.
Ma vie avait alors comme un goût de RANCE
Tout semblait au bonheur vouloir faire ÉCRAN.
Un jour je rencontrais celle qui me CERNA
Qui me dit tu ressembles à une vieille CARNE
Tu ne fais pas envie, et ce mot me CRÉNA
Si tu veux que l’espoir à nouveau en toi s’ANCRE
Tu dois puiser en toi la poésie de NACRE
Dont toi seul à la clef, c’est ainsi qu’elle s’ENCRA.
Recrutement
L’adolescent rebelle adopte cet air CRÂNE
Celui qui veut vous dire c’est gagner ou CANER
Il n’abusait personne, pas moi qui le CERNA
Je sentais bien sa peur, la petite odeur RANCE
À laquelle bien sûr il voulait faire ÉCRAN.
Je pris dedans la trousse le peigne aux dents de NACRE
Qui dans sa chevelure avec force CRÉNA
Le pauvre à l’armée venait de jeter l’ANCRE
De griffonner son nom au papier qu’il ENCRA
Jurant fidélité à une vieille CARNE
Ce sergent recruteur et son joli bla-bla.
Un moment de faiblesse
Ma main à la recherche d’une entaille CRÉNA
au flanc de la falaise elle cherchait une ANCRE
Je sentais que la peur diffusait l’odeur RANCE
J’étais alors trop jeune pour sur ce coup CANER.
La roche à cet endroit était couleur de NACRE
Réfléchissant par trop cela faisait ÉCRAN
La flaque de lumière ce jour là me CERNA
Je n’avais plus le cœur à prendre mon air CRÂNE.
Ce n’est que bien plus tard quand je fus vieille CARNE
Que l’instant de faiblesse dans un conte s’ENCRA.
L’appât.
Un jour me promenant je humais l’odeur RANCE
Cette senteur putride de qui vient à CANER
J’aperçus pas très loin une très vieille CARNE
Au milieu de ses restes luisait déjà son CRÂNE.
Je pris mon grand mouchoir pour en faire un ÉCRAN
Les os la transperçaient de leur couleur de NACRE.
Puis je vis cette chaîne à son cou comme une ANCRE
La rendant impuissante quand la meute la CERNA
Que la dent ou la griffe dans sa chair se CRÉNA.
Dans ma seule mémoire cette histoire s’ENCRA.
Devant l’ECRAN.
Mais qu’est-ce que tu as bourricot dans le CRÂNE
Quand aucune leçon que je donne ne s’ANCRE
Lui dit un jour le maître qui alors le CERNA
Ses doigts dans ses cheveux que très fort il CRÉNA.
Ce vieil homme ronchon était une vraie CARNE
Son haleine puante avait le relent RANCE.
Le pauvre écolier cru même en CANER.
Depuis lorsqu’il joue assis devant l’ECRAN
Il voit parfois jouer dans ses reflets de NACRE
Les doigts crochus du maître qui sa tête ENCRA.
Une pauvre CARNE
D’une main appliquée la page blanche ENCRA
Suivant toujours l’idée qui ce jour me CERNA
De ce coin de mémoire cachée dedans mon CRÂNE
Elle apparut soudain comme sur un ÉCRAN.
C’était il y a longtemps tout au bout de la RANCE
Là où aucun bateau jamais bien sûr ne s’ANCRE.
Car la houle de mer qui toujours y CRÉNA
Ne permet d’y rester qu’aux coquilles de NACRE.
Jadis las s’y risqua juste une pauvre CARNE
Qui vint par accident s’échouer et CANER.
La marée.
J’ai bien cru cette fois que j’allais là CANER
Qu’on trouverait de moi juste une pauvre CARNE
Attiré vers ce lieu par une odeur RANCE
Ce n’est pourtant encore que voulais jeter l’ANCRE.
La marée qui montait et alors me CERNA
Entouré de ses flots à l’écume de NACRE
Les orteils dans le sable de mes ongles y CRÉNA
Espérant bien que l’eau n’atteigne pas mon CRÂNE.
J’imagine la scène comme sur un ÉCRAN
C’est celle qui en moi et pour toujours s’ENCRA.

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