Voyageurs.
Publié le 04 août 2025
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Ont-ils toujours rêvé les hommes de voyages
En ces temps reculés qu’on dit des premiers âges ?
Et s’ils se déplaçaient c’était pour leur survie
Vers des terres propices où abondait la vie.
Ce n’est que bien plus tard que les explorateurs
Issus presque toujours de ces peuples vainqueurs
Partaient pour découvrir terra incognita
Des terres pour la gloire mais d’abord pour le roi.
Sous prétexte souvent de les civiliser
Ou de les convertir aux cultes autorisés
Ils écrasaient les autres au nom de leurs valeurs
Mais n’étaient au bilan tous que de grands voleurs.
Puis sont venus les temps dits de prospérité
C’est pour leur agrément que certains voyageaient.
Toujours aussi bien sûr d’autres pour leur business
Y aurait-il des raisons pour que tout cela cesse ?
C’est aujourd’hui l’époque des grandes migrations
Le monde vient à nous en raison de la guerre
Et du climat aussi, de son évolution
Des grandes pollutions comme de la misère.
Au grand dam constatez de ces populations
Qui trouvaient très normale la colonisation.
Pas question toutefois qu’il se mélange à elles
Elles voient leurs pays comme des citadelles.
Partout en occident les villes sont ainsi
Des cultures s’y côtoient, pourquoi est-ce un souci ?
Les mêmes qui voudraient voir un seul uniforme
S’empiffrent de couscous. c’est devenu la norme.
Quand je veux voyager, je descend dans la rue
L’Afrique et l’Asie s’y promènent en tenues
Je peux manger indien ou même brésilien
J’écoute des musiques d’orchestres hawaïens.
Je peux sur un écran visiter tous les lieux
Les endroits très sauvages comme les prestigieux
Le monde est partout, la terre est petite
Il existe pourtant toujours de la vindicte.
Cette peur atavique née dans les premiers âges
Quand la tribu voisine exerçait des ravages
On croit évoluer mais règne hélas la loi
Si toi tu ne me pilles, alors ce sera moi.
En ces temps reculés qu’on dit des premiers âges ?
Et s’ils se déplaçaient c’était pour leur survie
Vers des terres propices où abondait la vie.
Ce n’est que bien plus tard que les explorateurs
Issus presque toujours de ces peuples vainqueurs
Partaient pour découvrir terra incognita
Des terres pour la gloire mais d’abord pour le roi.
Sous prétexte souvent de les civiliser
Ou de les convertir aux cultes autorisés
Ils écrasaient les autres au nom de leurs valeurs
Mais n’étaient au bilan tous que de grands voleurs.
Puis sont venus les temps dits de prospérité
C’est pour leur agrément que certains voyageaient.
Toujours aussi bien sûr d’autres pour leur business
Y aurait-il des raisons pour que tout cela cesse ?
C’est aujourd’hui l’époque des grandes migrations
Le monde vient à nous en raison de la guerre
Et du climat aussi, de son évolution
Des grandes pollutions comme de la misère.
Au grand dam constatez de ces populations
Qui trouvaient très normale la colonisation.
Pas question toutefois qu’il se mélange à elles
Elles voient leurs pays comme des citadelles.
Partout en occident les villes sont ainsi
Des cultures s’y côtoient, pourquoi est-ce un souci ?
Les mêmes qui voudraient voir un seul uniforme
S’empiffrent de couscous. c’est devenu la norme.
Quand je veux voyager, je descend dans la rue
L’Afrique et l’Asie s’y promènent en tenues
Je peux manger indien ou même brésilien
J’écoute des musiques d’orchestres hawaïens.
Je peux sur un écran visiter tous les lieux
Les endroits très sauvages comme les prestigieux
Le monde est partout, la terre est petite
Il existe pourtant toujours de la vindicte.
Cette peur atavique née dans les premiers âges
Quand la tribu voisine exerçait des ravages
On croit évoluer mais règne hélas la loi
Si toi tu ne me pilles, alors ce sera moi.

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