Puissiez-vous tintinnabuler encore longtemps
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
7 lecture
(0)
Par simple amour des mots, j’ai plaisir à écrire
Leur saveur est spéciale, elle évoque beaucoup
Le sens même qu’ils ont, ils le portent à leur cou
Ainsi de caracole, dont le galop enivre.
J’en ai plein ma musette de ces mots rigolos
Écoutez clochemerle, un village où l’écho
Chante plus haut qu’un merle et plus fort qu’une cloche
Il répand les rumeurs les drôles et les moches.
Quand je parle de cloches, j’ouï tintinabuler
Toutes celles accrochées au grand traîneau de rennes
Je redeviens enfant et je revoie la scène
Celle du Père Noël quand je n’affabulais.
J’aime les sarbacanes et les hurluberlus
Oui j’en ai rencontrés, je n’ai pas la berlue,
Quand aux hippopotames et autres couleuvrines
C’est toujours en couleurs que je les imagine.
Foin des pantalonnades où je me gondolais
Dans ces charivaris que font des congolais
Oui aux jours tranquilles dans ma thébaïde
Je m’y trouve bien mieux qu’en Terre Adélaïde.
Leur saveur est spéciale, elle évoque beaucoup
Le sens même qu’ils ont, ils le portent à leur cou
Ainsi de caracole, dont le galop enivre.
J’en ai plein ma musette de ces mots rigolos
Écoutez clochemerle, un village où l’écho
Chante plus haut qu’un merle et plus fort qu’une cloche
Il répand les rumeurs les drôles et les moches.
Quand je parle de cloches, j’ouï tintinabuler
Toutes celles accrochées au grand traîneau de rennes
Je redeviens enfant et je revoie la scène
Celle du Père Noël quand je n’affabulais.
J’aime les sarbacanes et les hurluberlus
Oui j’en ai rencontrés, je n’ai pas la berlue,
Quand aux hippopotames et autres couleuvrines
C’est toujours en couleurs que je les imagine.
Foin des pantalonnades où je me gondolais
Dans ces charivaris que font des congolais
Oui aux jours tranquilles dans ma thébaïde
Je m’y trouve bien mieux qu’en Terre Adélaïde.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.