Tant mon cœur en tremble.
Publié le 04 août 2025
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Après le gai tumulte et le grand brouhaha
Après que j’ai pu tous les serrer dans mes bras,
Ils sont tous repartis et la maison est vide
Elle me semble à présent une terre aride.
Mes enfants étaient là et mes petits enfants
Des trésors de jeunesse, enjoués et piaffant
Comme un vent d’allégresse, comme un chant triomphant
Au cœur de ma vieillesse, un feu bien réchauffant.
Leurs cris évanouis, leurs images estompées
Sont tout ce qu’il me reste de ces temps envolés
Les aurais-je rêvés, me serais-je trompé ?
Non ils étaient bien là, le temps les a volés !
Je ne puis retenir ces moments qu’en mémoire
Ils sont, on le sait bien, inconstants et volages
Chaque année c’est ainsi, même image en miroir,
Il en est las ainsi quand ils avancent en âge.
Je verrai tour à tour leur visage bien sûr
Et j’entendrai leur voix ce ne sera si dur.
Mais lorsqu’ils sont ici réunis tous ensemble
Je me sens si heureux que encore mon cœur tremble.
Après que j’ai pu tous les serrer dans mes bras,
Ils sont tous repartis et la maison est vide
Elle me semble à présent une terre aride.
Mes enfants étaient là et mes petits enfants
Des trésors de jeunesse, enjoués et piaffant
Comme un vent d’allégresse, comme un chant triomphant
Au cœur de ma vieillesse, un feu bien réchauffant.
Leurs cris évanouis, leurs images estompées
Sont tout ce qu’il me reste de ces temps envolés
Les aurais-je rêvés, me serais-je trompé ?
Non ils étaient bien là, le temps les a volés !
Je ne puis retenir ces moments qu’en mémoire
Ils sont, on le sait bien, inconstants et volages
Chaque année c’est ainsi, même image en miroir,
Il en est las ainsi quand ils avancent en âge.
Je verrai tour à tour leur visage bien sûr
Et j’entendrai leur voix ce ne sera si dur.
Mais lorsqu’ils sont ici réunis tous ensemble
Je me sens si heureux que encore mon cœur tremble.

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