Vivre au soleil.
Publié le 04 août 2025
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Ils s’enchaînent à plaisir pour bercer mes oreilles,
Bouleverser mon âme et ébranler mon cœur.
Ils promettent parfois des monts et des merveilles,
Estompent les douleurs et chantent le bonheur.
Ce sont comme des notes, dont je jouerais les gammes
Autant pour apaiser en dedans cette flamme,
Que pour la raviver lorsqu’elle vient à mourir,
Autant pour en pleurer que pour vouloir en rire.
Une musique intime en mille mélodies,
Que je fredonnerai recherchant l’harmonie,
En y mariant les mots à travers tous les thèmes,
Tous ceux que dans mon coeur, le monde y malmène.
Puis je les jetterai sur des pages fébriles
Qui trembleront encore sous ma plume agile.
Là où naîtront alors ces textes improbables
Qui viennent y jaillir quand ils sont en cavale.
Tourbillons incessants ou sages arabesques
Émotions de mon sang, vomis de mes faiblesses,
Ils viendront se poser, comme font les oiseaux
Tout prêts à s’envoler, au moindre soubresaut.
Ils doivent bien m’aimer, autant que je les aime
À tant me harceler, pour qu’enfin je les sème.
Étaient-ils prisonniers, pour vouloir s’évader
Et vivre au soleil de mes folles pensées ?
Bouleverser mon âme et ébranler mon cœur.
Ils promettent parfois des monts et des merveilles,
Estompent les douleurs et chantent le bonheur.
Ce sont comme des notes, dont je jouerais les gammes
Autant pour apaiser en dedans cette flamme,
Que pour la raviver lorsqu’elle vient à mourir,
Autant pour en pleurer que pour vouloir en rire.
Une musique intime en mille mélodies,
Que je fredonnerai recherchant l’harmonie,
En y mariant les mots à travers tous les thèmes,
Tous ceux que dans mon coeur, le monde y malmène.
Puis je les jetterai sur des pages fébriles
Qui trembleront encore sous ma plume agile.
Là où naîtront alors ces textes improbables
Qui viennent y jaillir quand ils sont en cavale.
Tourbillons incessants ou sages arabesques
Émotions de mon sang, vomis de mes faiblesses,
Ils viendront se poser, comme font les oiseaux
Tout prêts à s’envoler, au moindre soubresaut.
Ils doivent bien m’aimer, autant que je les aime
À tant me harceler, pour qu’enfin je les sème.
Étaient-ils prisonniers, pour vouloir s’évader
Et vivre au soleil de mes folles pensées ?

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